HISTORIQUE
Création et ouverture
Créé en 2008 et immatriculé sous le numéro : 7IJ1GSFD101305110, le CES de la Cité-Sic est un établissement secondaire public et laÏc qui ouvre ses portes en septembre 2010 après plusieurs tracasseries foncières sous la direction de Monsieur BATINDI Zachée de regretté mémoire.
Situation géographique
Le CES est situé au cœur de l’arrondissement de Douala V précisément à la Cité-Sic, à quelques encablures de l’Université de Douala campus I de l’ESSEC et sur la bretelle qui mène vers le stade Marrion ou vers la piscine olympique à partir de fin Barrière ESSEC.
Situation administrative
Depuis sa création, le CES a connu 04 Directeurs :Monsieur BATINDI Zachée,Il œuvre pour l’ouverture de l’établissement et administre pendant un an (2010-2011), puis, il est remplacé.
Mme MASSOMA Ekwalla Marthe,Actuel Proviseur du Lycée de Logpom II, elle remplace M. BATINDI Zachée et officiera jusqu’en Aout 2015, date à laquelle elle est à son tour remplacée par Madame NOUMA Caroline.
Mme NOUMA Caroline.Actuel Directeur du CES Bilingue de MBANGA PONGO, elle va administrer jusqu’ au 7 Septembre 2016, date à laquelle Monsieur Emmanuel AKAMEU prend les reines de l’établissement.
Au poste de surveillant général, plusieurs personnes se sont succédé à savoir : M. ANDJONGO (2010-2011). Ensuite Mme NDEBIA Calice (2011-2013), puis M. AYATA Jean De Dieu en poste et Mme NGO SINTAT en poste tous deux assistés par les surveillants de secteurs. Notons qu’à ce jour, l’établissement compte environ 60 personnels enseignant et administratif.
Situation infrastructurelle
Implanté sur une superficie de 2700m2 l’établissement est bâti sur trois sites A, B et C qui abritent 12 salles de classe, 07 bureaux, 01 salle informatique et un bâtiment multifonctionnel construit en matériaux écologique.
Situation sociologique du milieu
Situé dans la zone bassa et dans un quartier populaire, le CES de la Cité-sic est constitué des élèves issus d’une population cosmopolite. Ce qui explique quelque fois les problèmes de sécurité orchestrés par les badauds et quelques esprits mal intentionnés qui sont progressivement entrain de devenir un souvenir lointain grâce aux mesures prises par l’administration de l’établissement.